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En lui résidait la vie, et cette vie était la lumière des hommes (Jean 1:4).
La lumière et la vie sont des éléments on ne peut plus banals. On n’y fait pas attention. Pourtant sans eux, nous sommes morts. La vie d’un homme est son plus grand atout ; la perdre est chose tragique. Jean affirme que la vie est en Jésus-Christ ; qu’elle soit physique ou spirituelle, elle nous vient de lui. Le logos, la Parole, le verbe, la raison de Dieu, contient la vie en lui-même.
La biologie a découvert que le principe de vie est inhérent au code génétique de chaque être vivant. C’est la Parole émise par le Créateur qui l’a créé et fabriqué. Ce code génétique est déterminé par un alphabet de seulement 4 lettres chimiques, et qui composant des mots de trois lettres, suffisent pour construire tous les êtres vivants dans leur immense diversité. Dans le livre de la Genèse, nous lisons que Dieu dit : Que la terre produise ceci et cela, et ainsi de suite.
C’est parce que le Créateur a émis une Parole, une impulsion intelligente de la part de son Esprit, que le principe de vie a pris existence et forme. Le code génétique étant l’expression de la raison de Dieu, il s’est saisi des éléments de la terre et des eaux pour en constituer des êtres vivants. Cette vie est partout autour de nous, dans l’eau, dans les bois, dans l’air, de façon visible, mais aussi sous forme de micro-organismes. J’ai lu quelque part que sur notre peau grouillent des milliards de bestioles minuscules. La vie est partout et en abondance, mais nul ne peut l’expliquer.
La lumière est l’autre élément tellement ordinaire qu’on ne l’apprécie plus sauf lorsqu’on en est privé. C’est vrai qu’il y a des poissons qui vivent dans l’obscurité la plus complète, tout au fond des fosses océaniques, mais ils sont équipés pour, ce qui n’est pas mon cas. Moi, si j’ai trois jours de suite de pluie, j’ai le bourdon et je chante le blues. C’est pareil si le ciel est bas, du genre de celui dont chantait Jacques Brel lorsqu’il parlait de son plat pays avec un ciel si bas qu’un canard s’est perdu, un ciel si gris qu’un canard s’est pendu. Je me traînerais par terre si je devais habiter un endroit sans soleil, ou en hiver le jour est à peine une pénombre, et cela, pendant plusieurs mois de suite. Et en plus, il y fait un froid de canard pour parler d’eux. Dans l’immense espace sidéral, c’est encore pire. Il y fait une nuit d’encre, une obscurité complète à couper au couteau, un noir absolu. C’est drôlement lugubre et ça fait froid dans le dos d’y penser parce que je suis fait pour vivre aux rayons du soleil.
Dans les Textes Sacrés, la lumière est souvent utilisée comme emblème pour l’Éternel. D’ailleurs, ce fut sa première création. Les ténèbres au contraire, servent fréquemment à illustrer la mort, l’ignorance spirituelle, la culpabilité humaine et la séparation d’avec Dieu. Nous vivons dans un univers qui est dans les ténèbres, ce qui veut dire que l’homme demeure dans ses vices et sa culpabilité qui l’empêchent de voir Dieu. La solution, c’est la lumière, et elle se trouve exclusivement en Jésus-Christ.
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Barclay renaît : une longue histoire tournée vers l’avenir.
J’ai l’honneur et l’immense plaisir de me voir confier aujourd’hui la direction du label Barclay, en plus de mes fonctions de directeur du catalogue que j’anime depuis maintenant 5 ans, sous le nom de Panthéon. Je remercie sincèrement Olivier Nusse pour sa confiance. Je mesure la chance qui est la mienne de diriger désormais ces deux marques prestigieuses, qui représentent à la fois le patrimoine de la chanson française et son présent le plus vif, ainsi qu’un avenir qu’il nous appartient d’écrire, avec les artistes qui nous ont déjà rejoints et ceux que nous ferons venir à nous.
A la tête d’une équipe expérimentée d’une dizaine de personnes toutes enthousiastes et passionnées, j’entends redonner à Barclay la dynamique créative et l’esprit singulier qui l’a toujours distingué. Le label fondé par Eddie et Nicole Barclay célèbrera ses 70 ans dans les prochains mois, et à travers cette renaissance de la plus mythique des marques discographiques françaises, un temps mis en sommeil, je souhaite que l’on perpétue cet héritage avec le même attachement qui animait ses fondateurs et ceux qui leur succédèrent à travers les époques. Barclay a toujours été la maison des artistes populaires comme des personnalités fortes de la chanson et de la pop, celle où cohabitaient aussi bien Dalida que Jacques Brel, Michel Delpech que Léo Ferré, Daniel Balavoine que Alain Bashung. A l’instar des grandes figures qui ont dirigé cette maison par le passé, je souhaite en faire un des carrefours les plus enviés de la création musicale et le lieu où les artistes majeurs poursuivent leur route en toute quiétude. Les noms de ceux qui nous rejoignent en disent déjà long sur cet esprit et sur la hauteur de notre exigence. Des « historiques » de Barclay sont de retour sur leur label fétiche (Bernard Lavilliers, Stephan Eicher, Vanessa Paradis, Carla Bruni) et d’autres viennent agrandir le cercle, non des moindres : Etienne Daho, Jane Birkin, William Sheller, Juliette et Gauvain Sers. La Grande Sophie, Stephan Eicher et Louise Attaque seront les premiers, dans les mois qui viennent, à voir le mythique logo originel de Barclay inscrit sur leurs nouveaux albums.
Je suis impatient, avec mon équipe, à l’idée de prolonger cette merveilleuse aventure, pas uniquement pour sortir des albums qui marqueront la carrière déjà glorieuse de ces artistes, ce dont je suis convaincu, mais aussi pour en découvrir de nouveaux qui perpétueront cette histoire. En ces temps d’agitation et de mutations permanentes, remettre la musique et la création au centre du jeu, donner du temps à l’accomplissement et des moyens pour produire des œuvres, demeure la plus noble et stimulante des missions.
Georges De Sousa.
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